C’était il y a des années, lorsque j’étais avec une de mes ex. Elle avait une amie qui s’appelait Clémence. Ma copine et moi étions en voyage et Clémence passait dans le coin. Nous l’avons invité à passer une soirée avec nous. Cela ne me posait aucun problème, car c’était une fille formidable et très amusante. Sans compter qu’elle était très belle. De longs cheveux blonds et bouclés, des yeux d’un bleu éclatant, un corps tonique d’environ 1,70 m avec de longues jambes et une paire de seins à faire bander les morts. En plus, ma copine avait déjà parlé d’un plan à trois avec Clémence, alors…
Quoi qu’il en soit, après avoir passé la soirée ensemble, nous nous sommes préparés à aller nous coucher. Ma copine et moi dans le lit et Clémence sur le canapé. C’était une grande chambre d’hôtel, mais le canapé n’était pas à plus de trois mètres du lit. Après que nous ayons été au lit pendant un certain temps, ma copine a commencé à me faire des avances. J’étais pratiquement endormi lorsqu’elle a commencé à m’embrasser dans le cou. Je l’ai entendue murmurer : « Bébé… J’en ai besoin ». Elle me suppliait pratiquement. Nous avons chuchoté à propos de la présence de Clémence dans la pièce. « Je l’ai déjà fait avec d’autres mecs alors que Clémence était à côté, t’inquiète elle dort comme une masse », a-t-elle murmuré.
J’ai réfléchi quelques instants et j’ai commencé à embrasser ma copine. En quelques instants, nos vêtements étaient enlevés. Je me suis retourné entre ses jambes et elle m’a légèrement repoussé. « Qu’est-ce que tu fais ? Prends une capote ». Je le savais, elle ne m’avait jamais laissé la baiser à cru, mais j’espérais que ce soir serait le bon, je veux dire, elle disait toujours « peut-être la prochaine fois ». Alors je tentais à chaque fois.
Je me suis retourné et j’ai pris un préservatif. Je l’ai enfilé et je me suis remis entre ses jambes. Nous avons recommencé à nous embrasser. J’ai lentement glissé ma bite à l’intérieur de sa chatte trempée. Elle a gémi sur mes lèvres. Je me suis enfoncé encore et encore. Après quelques poussées, j’ai senti que j’allais exploser. Il m’a fallu tout ce que j’avais pour me retenir pendant une autre poussée, puis j’ai lâché prise. J’ai enfoui ma tête dans son épaule et j’ai étouffé mes gémissements en remplissant le préservatif. J’ai senti nos corps trembler alors qu’elle avait un orgasme (j’ai appris et compris plus tard qu’elle avait simulé).
J’ai fait glisser ma bite hors d’elle et j’ai scruté autour de moi. « Où est mon caleçon ? Il faut que je le jette », ai-je dit. « Vas-y à poil. Elle pionce toujours. » J’ai roulé des yeux et j’ai rampé hors du lit. J’ai jeté le préservatif dans la salle de bain. J’ai nettoyé un peu et ma bite déjà presque entièrement flasque reposait sur mes couilles.
Au moment où je suis sorti de la salle de bains, l’écran d’un téléphone était allumé. J’ai à peine eu le temps de comprendre que c’était celui de Clémence avant qu’elle me dise : « Sérieusement, mec, 30 secondes ? ». Je me suis caché derrière la porte. « Ça ne sert à rien de te cacher maintenant. J’ai déjà vu ta merveille… », puis s’adressant à ma copine : « Est-ce qu’il jouit toujours aussi vite ? », mon ex a répondu : « Ouais, d’habitude je lui fais toujours me bouffer la chatte pour que je jouisse, mais quand on baise il jouit toujours trop vite ». Les deux filles ont fini par rire tandis que je me couvrais pour retourner au lit.