Aller au contenu
Accueil » Dans mon sac » Prématuré à l’université

Prématuré à l’université

    J’étais au lit avec une fille de première année dans son dortoir un soir de ma troisième année. Il était environ 2 heures du matin, les lumières étaient éteintes. Elle avait un lit mezzanine, donc nous étions au-dessus du reste de la chambre. Soudain, la porte s’est ouverte et sa colocataire, une brune sexy accompagnée d’un mec, est entrée.

    Ils sont partout l’un sur l’autre, visiblement ivres, et se dirigent vers le lit de la colocataire. Les bruits des baisers se transforment en bruits de vêtements qui s’écrasent au sol. Je jette un coup d’œil par-dessus le côté du lit de ma copine et je vois sa colocataire. Elle est au sol, à genoux, nue à l’exception de son string. Ses seins sont délicieusement formés. Puis, je l’aperçois, lui, la queue en pleine érection qu’elle finit par engloutir. Après cette rapide fellation, elle est allongée sur le dos, lui entre ses cuisses, écartant son string pour s’introduire en elle.

    À ce moment-là, je suis complètement dur dans mes sous-vêtements et ma copine, en débardeur et petite culotte, commence à mouiller. Nous les écoutons et les épions pendant les 30-40 minutes durant lesquelles ils enchainent les positions et les orgasmes (du moins pour elle).

    Finalement, ils ont fini, se sont embrassés encore un moment avant de s’habiller et de s’en aller. Dès que la porte s’est refermée, la main de ma copine a disparu dans sa culotte, tellement elle était excitée par ce qu’elle avait entendu et vue.

    Je ne pouvais plus me retenir, j’ai arraché mes sous-vêtements et je me suis roulé sur elle. Ma bite s’est glissée entre ses jambes et s’est pressée contre sa culotte, qui était maintenant trempée. C’était trop pour moi et je me suis mis à exploser sur ses cuisses et sa culotte.

    Inutile de dire qu’elle n’était pas impressionnée. Elle s’est emparée de son vibro, s’est levée et est allée dans la salle de bains, où elle est restée une vingtaine de minutes avant de revenir et de simplement me dire : « Je ne sais pas comment elle fait pour encaisser une telle bite, je veux dire, je ne suis pas douée pour les mesures, mais elle est presque aussi longue que son avant-bras ».

    Étiquettes: